Des écrivains, des artistes invités par Pierre Perrin

Quelques-uns des invités par Pierre Perrin


« Le déclin de la notion de personne est le facteur premier des désastres politiques du XXe siècle
et de l’avilissement général de notre civilisation. » Octavio Paz, La Flamme double

Ce site donne à lire d’autres écrivains

Qu’est-ce donc que donner à lire ce qui s’écrit à mains nues, proche de soi ? Le propre d’un trésor, c’est qu’il est sans limite. Une lampe n’est pas faite pour accaparer les regards, mais pour éclairer. La beauté regarde l’univers et c’est pourquoi l’univers… Poursuivre cette ouverture

Christian Bobin lit Les Enfants humiliés de Bernanos

Les livres en bonne santé sont écrits dans le calme. Ils sortent de la conscience de l’écrivain comme le rêve sort d’un sommeil bienheureux. Ce sont des livres pour continuer, simplement continuer à dormir et à écrire en dormant. Les livres malades sont écrits pour interrompre, briser, quitter… Lire la suite

Présentation de Jean Grosjean par Jacques Réda

Je me dispenserai d’abord de décrire le poète, puisqu’il est assis en personne parmi nous. C’est pourtant plutôt vertical que je me le représente. Ainsi, d’ailleurs, depuis pas mal d’années, se matérialise-t-il, deux ou trois fois par mois, dans l’encadrement de ma porte ouverte en permanence. Puis il entre sans dire bonjour, mais avec… Lire la suite

Georges Mounin, Le vrai lecteur de poésie

Si vous avez lu ne serait-ce qu’un seul poème, ne serait-ce qu’une seule fois, avec l’impression d’apercevoir, de pressentir, ou de sentir, que brusquement vous étiez quelque chose d’autre – quelque chose d’inconnu de vous-même… Lire la suite

Jean Orizet, extrait du Voyageur absent

Les témoins de ce déluge dominical se consolèrent en vidant deux bouteilles de madère 1830 qu’il fallut filtrer quatre fois, tant le dépôt était en suspension. Vers six heures du soir, le ciel, enfin, s’éclaircit, et le soleil dora les ventres blancs des volatiles. Un voilier coupa l’horizon… Lire la suite

Jean Pérol, Hommage à Claude-Michel Cluny

Cluny, avec noblesse et lucidité, s’attaquait aux puissants sans trembler : les “Robbe et les Grillets’’, comme il disait, la Duras, la Grande Sartreuse, Modiano, et tant d’autres, tout ce qu’il appelait “les montés en graine de la jobardise parisienne et des universitaires américains’’, sans parler de ses têtes de turc en politique et dans le cinéma… Lire la suite

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